Suisse-Regard

Lettre d’information  de l’Ambassade de Suisse en France N°20

Septembre - Octobre 2014

Affaires consulaires

De délicieuses spécialités suisses, une tombola bien garnie, des intermèdes musicaux au son du cor des Alpes et une météo agréable, tous les ingrédients étaient réunis pour que la fête soit chaleureuse et conviviale.

Environ 450 personnes se sont déplacées à la CIUP afin de célébrer ensemble la Fête nationale suisse. Après un discours de Monsieur Regazzoni, Ambassadeur de Suisse en France ainsi que de M. Lemeslif, Président de l’Union des associations suisses de France, l’assemblée a chanté avec enthousiasme l’hymne national.

Pour la première fois, une dégustation de chocolat était organisée et de nombreux gourmands se sont attelés à la tâche ! Les petites faims ont également pu être calmées avec différentes spécialités suisses.

La fête s’est terminée avec le feu du 1er Août, un feu de joie qui, traditionnellement, brûle ce jour-là dans de nombreuses communes suisses et qui évoque les signaux utilisés autrefois comme moyen visuel de communication. C’est également un reliquat de la fête celte de Lugnasad consacrée au dieu Lug et qui était célébrée au début du mois d'août.

« Que serait le monde sans les Suisses de l’étranger ? »

Le 92ème Congrès des Suisses de l'étranger s’est déroulé du 15 au 17 août dernier à Baden sur le thème «Technologies de l'information et médias sociaux: une chance pour la 5e Suisse». A cette occasion, près de 320 Suisses venus du monde entier se sont retrouvés. Un bref compte-rendu est disponible ici.

Le Conseiller fédéral Alain Berset a souligné que les Suisses de l’étranger étaient de véritables ambassadeurs de la Suisse et contribuaient à en véhiculer une image dynamique, créative et entreprenante. « Je le disais au début de mon discours : le monde serait moins riche sans les Suisses de l’étranger. Et bien, en toute modestie, j’irais même plus loin : que serait le monde sans les Suisses de l’étranger ?»

« Regardez la tour Koechlin. Vous allez me dire : quel Koechlin ? Et quelle tour ? Et bien voilà : Maurice Koechlin était binational franco-suisse et accessoirement diplômé EPF. C’est lui qui a eu l’idée de mettre quatre pieds à un mât métallique. (…) Et son chef s’appelait… Gustave Eiffel. » Et de conclure : « Que serait Paris sans la tour Koechlin ? Ne l'oubliez pas, vous êtes les ambassadeurs de notre pays. Vous êtes tous des Koechlin en puissance. »